Feneko est un fabricant de moustiquaires et de portes moustiquaires en alliage établi à Bruxelles. La société s’est fortement développée au cours de la dernière décennie et vient de construire un atelier supplémentaire de 3 300 m² en vue d’accroître sa capacité. « J’ai fait appel à TCS pour réaliser les travaux parce que je savais qu’ils gèreraient le projet de A à Z, sans m’imposer aucun fardeau, de quelque nature que ce soit, » déclare le Directeur Frank Nees.
Lorsque Nees a lancé Feneko en 1995, il s’agissait initialement d’une petite entreprise unipersonnelle produisant des moustiquaires dans le garage de son père. Aujourd’hui, la société est une PME d’envergure employant soixante-cinq personnes à plein temps, plus environ trente travailleurs intérimaires pendant la saison estivale chargée. Depuis 2003, les sites de production se situent à Neder-Over-Heembeek, dans la périphérie nord de Bruxelles (Belgique), où Nees a construit quatre ateliers et un immeuble de bureaux. Tous les bâtiments présentent la même façade bleu outremer qui fait sa marque de fabrique, même s’ils ont été conçus et édifiés par différents entrepreneurs.
Les critères de Frank Nees lors du choix des entrepreneurs sont assez clairs. « Même si je gère une société relativement importante, j’aime avoir beaucoup de temps libre », explique-t-il. « Pour cette raison, j’ai appris très tôt à être super efficace et à m’en tenir à ce qui essentiel dans mon activité. Je ne veux pas ramener de problèmes à la maison. Je dis toujours aux entrepreneurs : si vous souhaitez me soulager de tous mes fardeaux, nous ferons affaire ensemble. Et c’est exactement ce que m’a promis TCS. »
En raison de la pollution du sous-sol, il était impossible de disposer de terre excavée
Nees s’est déclaré extrêmement satisfait par l’approche du projet. « Je n’ai pas dû m’occuper le moins du monde des questions liées à la construction. Par exemple, l’atelier devait être construit sur un sous-sol pollué, ce qui signifie qu’il était impossible de disposer de terre excavée. TCS a réalisé une étude préliminaire pour s’assurer que toute la terre creusée pourrait être utilisée ailleurs sur le site. Et c’est ce qu’ils sont parvenus à faire, donc pas d’inquiétudes pour moi. Ils ont également respecté avec une grande rigueur le calendrier du projet, ce qui est plutôt inhabituel dans le secteur du bâtiment. Ils ont commencé la construction pendant les froides journées hivernales de janvier et ont achevé le projet six mois plus tard. Une belle performance, je dois dire. »
